lundi 17 juin 2013
En embuscade, le four, et sa bouche de feu.


C'est grosso modo fini pour le modelage, reste juste à lisser certains trucs et à ajouter le cordon du corsage, la touche de nonchalance, la fermeture qui ferme à peine, qui laisse croire que tout va s'ouvrir, mais ça ne s'ouvrira pas, car j'ai le sens de la pudeur.
Retoucher est compliqué puisque la patte est extrêmement ferme, comme pré-cuite par l'usage intensif, presque guerrier, du sêche cheveux.
Je fais ptet des erreurs, je sais pas. Les parties sêches sont sêches comme de la gomme, rien à faire pour les adoucir, si j'insiste elles cassent.
On sent la matière artificielle, qui n'a rien de vivant comme l'argile.
Du coup j'espère que la cuisson va marcher, et je m'appliquerai pour la colo. Le but c'est quand même de dégager l'âme de Pélisse, plutôt que ses.. enfin bon...
J'ai choisi, vu la petitesse, de neutraliser un peu l'expression, pour ne pas aller dans un excès (à part la lèvre qui dépasse bien façon Bardot jeune, qui me semble être une inspiration au moins inconsciente par Loisel ?), et plutôt utiliser la couleur pour rehausser, ou appuyer certains traits.
Will see. Car c'est bien beau, la parlotte.
0 commentaires | Lien Permanent



0 commentaires:

Enregistrer un commentaire

A défaut de révéler votre nom, renseignez au moins un pseudonyme.
N'utilisez pas de langage SMS.
Merchi.