dimanche 29 juillet 2012
Les randonnées d'Henriette et Jean-Jacques


Jean-Jacques est souvent taquin. Mais on peut se demander si parfois, il ne cherche pas à se débarrasser de sa tendre épouse...
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2 commentaires:

Msei BD a dit…

J'aime bien cette série. Tu prépares une BD?

Tortulut a dit…

Non c'est juste un échantillon d'univers. Associé ou pas à des idées narratives. La plupart du temps pas vraiment. J'arrive pas à me concentrer, et mon environnement est pas assez calme pour que je puisse travailler autre chose que du spontané, oublié aussitôt une fois terminé.
Surtout que j'ai des difficultés à me concentrer, ça me fait penser que je lis "Cosmos" de Gombrowicz, et que je me retrouve carrément dans sa définition "d'être diverti par". Dans l'attitude de ce personnage construisant à lui tout seul, a force d'interprérations et d'analyse incessante de ce qui l'entoure (des formes et des relations entre les formes, les gens, les objets, le sons) une sorte d'intrigue qui ne se complexifie que par la seule force de ses réflexions, de son obsession à voir un sens ou un message caché dans le moindre détail de la vie quotidienne.
Et moi quand j'ai une idée, ou un truc qui me plait, je décortique en 10 morceaux. Chaque morceaux amenant 2 ou 3 autres pistes envisageables, etc.
Je m'égare. Je suis diverti. Oh tiens une mouche. Oh tiens, un trou sur le mur. Combien y'a t'il de trous sur le mur. Quel est le plus grand. Pourquoi. Comment. Quel impact sur le design, sur la qualité de l'oxygène dans la pièce. Est-ce un dortoir pour insecte. Un trou de perceuse. Un trou du à la dilatation du matériau, à une micro secousse sismique. Un trou esthétique, directement ouvragé par le fabricant du mur. Quel est la définition du trou d'ailleurs. Un trou n'existe t'il pas uniquement lorsque quelque chose l'entoure. Oui ? Non ? Un trou sans quelque chose autour, c'est vrai, c'est que du vide, du rien.
Ah ! Au fait ! Mon dessin. Ou j'en étais ?
La feuille blanche ! Oui, voilà. Très intéressant. Hmmm...

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