mercredi 20 février 2013
Douce-amer


"Quand cette vipère vous pique,
Pas de remède en la boutique."
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2 commentaires:

turlututu a dit…

t'a l'air d'avoir snifé quelque chose toi. Moi quand ca me prend les "pourquoi pas", je prefere tout faire, chuis le maitre de l'univers tu bout plus t'es le king tu vois, c'est tout le contraire que que d'y penser. Ce qu'est épuisant c'est de penser dans du vide, pas de faire. Ouaip, faire c'est royal, trippant. Y'a que le risque qu'a la fin tu te retouve avec plein de trucs commencé et pas fini...arf, et quand ce sont les meufs ca pardonne pas lol

Tortulut a dit…

Ben oui je snif, j'ai le nez embrumé par mes pensées.
Sinon t'as raison mon cher trulurlutu mais je trouve qu'il y a quelque chose de rassurant dans le simple fait d'imaginer faire quelque chose. Au moment précis ou on l'envisage. C'est un peu comme croquer un morceau de chocolat pas trop vite, pour qu'il en reste encore. J'aime bien tout mystifier, tout rêver avant d'agir, car même si souvent ça me fait espérer trop, et que la déception une fois le truc réalisé est forcément là, au moins le simple fait d'avoir passé du temps à réfléchir/fantasmer dans le vide, ça me donne un peu de peps et d'inspiration pour faire diverses choses. Ça crée un élan qui compense parfois l'apathie ou le désespoir.
De toute façon je suis incapable d'être non stop en train de faire, je suis trop rêveur. Au CE1 déjà la maîtresse disait que j'étais dans la lune. Et c'est vrai qu'elle est jolie la Terre vue de la lune. Vous savez pas ce que vous manquez !

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