... et aux grandes lunettes.
C'est plus comme ça que j'aime peindre, surtout à l'aquarelle. Ne pas surcharger en empilant les couches, conserver les blancs, garder une dynamique. Et puis surtout peindre un peu à l'arrache et ne pas me sentir dans une sorte de labeur scolaire. En fait l'antithèse du précedent.
Bon, c'est encore le papier qui m'fait peur, celui qui me surprend toujours, en fait il est bien, mais entre la touche posée et le résultat après l'absorbion, y'a un truc que j'ai encore du mal à anticiper.
2 commentaires:
Top! Je ne sais pas ce que tu anticipes mal mais le résultat est bon. On sent plein d'énergie et de spontanéité. Vraiment top.
Non mais c'est en partie très con. J'utilise un grain torchon qui se prête plutôt à l'aquarelle mouillée, et qui à tendance à diffuser la couleur, ce que j'avais un peu... oublié...
Pis bon j'ai très peu de pratique et c'est loin d'être une technique qui m'est familière, c'est toujours un peu le grand saut, même si j'espère combler ça en aquarellant plus souvent (j'arrête temporairement car je travaille à plein tube sur un autre truc)
De toute façon je sais que je respecte pas les codes, que j'saute des étapes, mais souvent c'est un besoin urgent de peindre qui vient balayer le peu de rigueur que j'essaye de conserver.
Ce qui me frustre c'est de savoir que je peux aller dans telle direction, mais que je ne me l'autorise pas, parcequ'à chaque fois le besoin de produire la tout de suite maintenant l'emporte sur le calme nécessaire à l'apprentissage et la non répétition des erreurs.
Bon et puis après y'a l'humilité devant ce que je sais qu'il est possible d'obtenir, devant le savoir des autres, leur génie, etc...
Et je canalise pas ça, ça m'inspire tout comme ça annhile le sens que me semblent parfois avoir mes besoins, qui du coup m'apparaissent comme des poussées d'égo, vaines, pas sincères.
Mais bon vivement que je m'y remette !
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Merchi.